120 bpm est avant tt l’histoire d’1 collectif, d'1 combat d'1 communauté en lutte. Campillo trouve le juste équilibre entre le grand récit histo-socio-politique et la petite romance intimiste sans pr autant tomber dans la facilité du mélo et de la complaisance.
Bien ancré dans le paysage d'un certain cinéma français dit littéraire, intellectuel et sentimental , AD reste fidèle à ses thèmes de prédilection tout en poussant encore plus loin cette fois -ci l'état psychique de ses personnages jusqu'à ce que cette introspection devienne "lourdingue" et ce sans compter sa divagation sur des personnages périphériques et certains détails sans intérêt. Avec une fin plus que pitoyable, le récit répond au thème universel de l'amour-haine par la morbidité et la psychosomatique avec l'excès et l'artificialité 2.5
苑京毛儿